Dans le cadre des activités relatives au lancement de sa rentrée académique tenues en début de cette semaine dans l’amphi 350 de l’Université de Yaoundé I, La faculté de médecine et des sciences biomédicales (FMSB), sous la conduite de son doyen, le Pr. Minkande Jacqueline, a signifié sa détermination à dresser un bilan largement au-dessus de celui obtenu au terme de l’année académique 2015-2016.
Selon Cameroon Tribune dans son édition du 28 février 2017, le doyen de la FMSB a saisi de l’occasion pour jeter tout d’abord un regard rétrospectif sur l’année 2015-2016 pendant laquelle, l’on a pu noter une disponibilité du matériel, d’équipements de laboratoires, un arrimage aux Tics, un taux de couverture des enseignements de plus de 95% , une intensification de la recherche assortie de plus de 449 articles publiées, 200 thèses de médecine et 4 thèses Phd. Sur le chapelet de points glanés au cours de cette année déjà écoulée, indique le journal de Marie Claire NANA, le Pr. Minkande a également égrainé entre autres, la promotion des enseignants, soit 7 agrégés dont un major. Aussi reluisant que puisse paraitre ce bilan, il n’a nullement pas satisfait le patron de la FMSB.
C’est pourquoi ce dernier, n’a pas hésité de formuler par la suite, quelques points devant constituer le cheval de bataille dans l’optique d’améliorer les résultats de cette année qui s’annonce. Il s’agit donc, de la modernisation de la numérisation des enseignements, du développement de l’agropole, du renforcement de la coopération, de l’appel à tous les enseignants, étudiants et personnel à plus de discipline, de ponctualité, d’assiduité et d’ardeur au travail, a indiqué le journal. Pour le Doyen de la FMSB, l’objectif est clair : Consolider le leadership de la FMSB dans la formation en domaine de la santé.
Bien de choses qui ont suscité les encouragements du Représentant du Recteur de l’Université de Yaoundé I, le Pr. Tonye, Vice-recteur chargé de la coopération, présentés au Doyen de la FMSB et a ses collaborateurs ; sans oublier de les appeler à plus d’ardeur au travail car, a-t-il indiqué, ils ont tout le soutien de la hiérarchie.
© Actu Plus : Franck Olivier BIYA
