Yaoundé, 6 mars 2023 – Avec sa voix douce et juvénile, le jeune artiste camerounais du label AFROBIT Production s’est spécialisé dans l’Afropop, l’afrobit et le makossa pour chanter les problèmes de son époque.
Martin’s fait partie de cette nouvelle génération d’artistes qui se donnent les moyens d’assurer la relève. Des rythmes locaux et traditionnels mêlés au style urbains et modernes, il est question de trouver quelque chose de plus original, de plus in, de plus tendance, de plus osé, pour ne laissé personne indifférent, en commençant par ces jeunes qui seraient aujourd’hui dans un monde en perte de valeurs et de repères. De son vrai nom Tchobé Martin Armand, la super star de l’Afropop loge son secret dans son univers ultrapop et très coloré pour toucher sa génération dans là où « Ça fait mal » et panser les vicissitudes de son époque. Des thèmes sont alors aussi divers que variés : il s’agit entre autres du « Culte du moi et de la femme, des dérives des réseaux sociaux, amours virtuels, de l’argent, etc. Des thèmes et bien d’autres qui lui valent aujourd’hui une présence remarquée dans le marché du disque.
Plusieurs titres
Martin’s est découvert en 2019 grâce à son label actuel AFROBIT Production, où il s’introduit officiellement sur la scène musicale camerounaise avec une reprise de la chanson intitulée « la femme de quelqu’un » de l’artiste français du RnB Singuila. En 2022, Martin’s fait appel au Docteur love Singuila et ensemble ils ont pu nous offrir une magnifique chanson intitulé « C’est foutu ».
Mais en 2021, le génie de Martin’s avait déjà testé et confirmé par l’emblématique KO-C, avec qui il collabore sur le titre « Qui a dit » un disque à la fois lunaire et rayonnant. Martin’s ne fait pas que dans l’ombre des grands. Il sait aussi produire en solo. En 2020, il sort « ça fait mal ». Un an plus tard, il signe « Mama ». La même année, il débarque encore avec « Money ».
Martin’s est de ceux qui pensent qu’il ne suffit pas d’avoir du talent, il faut pouvoir le rendre fertile et productif. Sa passion pour la musique a débuté dans la chorale de son lycée, puis s’est développé dans le club musique de l’Université de Yaoundé 1. Avec à ses inspirateurs, Singula, Dadju, Gims, et bien d’autres, le parcours et les prestations de ce jeune rendent unanimes sur le fait que c’est exemple pour la jeunesse.
